Merci Manci!! Voici la suite!!
Chapitre 1
Je commençait à reprendre ses sens. Les yeux toujours fermés, je sentit les fleurs aux parfums ennivrants, j'entendit les oiseaux entonnée leurs chansons paradisiaque, je sentis, sous mes doigts fin, des couvertures si douces qu'on aurait dit de l'eau. Jétais couchée sur un matelas confortable, l'air frais entrait par une fenêtre près de moi.
Doucement, j'ouvrit les yeux. Les murs dans la chambre où je me trouvait, étaient blanc et violet, des rideaux de soie mauve flottaient lorsqu'une brise entrait par la fenêtre. je m'assied sur mon lit de plume pour détailler la chambre. Une jolie glace se trouvait devant moi, son contour, était en bois avec des motifs compliqués. Tout dans cet chambre respirait la douceur.
La porte s'ouvrit et je retint un cri à la vue de la femme qui se tenait dans l'embrasure. Elle était de grandeur moyenne, des cheveux blond raide descendaient jusqu'à sa taille, les traits de son visages étaient finement dessinés et ses étaient yeux rose. Mais ce qui rendait cette femme étrange, était la paire d'aile couleur rose qui se trouvaient dans son dos.
Je m'affolait. « Où suis-je? Qui est cette ''femme''? » me demandais-je. Incapable de prononcer un mot, je fermis la bouche. La dame ailée prit la parole:
-Bonjour Évangéline! Contente que tu soit réveillée, dit-elle.
-Mais qui êtes vous? Pourquoi suis-je ici? Je dois rêver... repondis-je.
-Je suis Amélia, ta mère. Tu es ici parce que je suis allée te chercher dans la forêt derrière chez toi et non, tu ne rêve pas, tout est réel.
-Ma... ma mère?
On frappa doucement à la porte. Une autre femme ailée, tout aussi belle qu'Amélia, aux ailes bleues, apporta un plateau chargé de nourriture qu'elle déposa sur une table de chevet et elle se retira. Évangéline regarda le plateau en détaillant chaque mets. Des fruits de toutes les tailles et de toutes les couleurs s'y tenaient. Je ne connaissait pas cette nourriture. Parmis c'est fruits étranges ce trouvaient des fleurs blanches et violettes.
-Restaure-toi ensuite habille-toi, il y a des robes dans la penderie. Dans une heure, je vais envoyer quelqu'un te chercher, dit Amélia avant de quitter la pièce.
Je prit un gros fruit rouge que je croquais prudemment, mais le goût de celui-ci était exquis. Je n'aurait pas pu dire quel saveur il avait. Après avoir mangé quelques fruits, je me suis levé et je suis allé à la penderie. Des robes blanches, bleues, violettes et rouges s'y tenait. J'ai enfilé une belle robe violette. Celle-ci touchait au plancher et mon dos était dénudé. Quelques minutes plus tard, on frappa à la porte. La même femme ailée se tenait devant moi.
-Veuillez me suivre, mademoiselle, dit-elle.
Elle m'emmena dans un dédale de couloirs tout aussi beaux les uns que les autres. La dame aux ailes bleues arrêta devant une grande porte rose. Elle me fit signe d'entrer. Je regardais maintenant Amélia, toujours aussi confuse. J'avais une tonne de question qui se bousculaient dans mon esprit.
-La robe que tu as choisi te va à merveille, me dit-elle.
-Qu'est-ce que vous êtes exactement?
-Une fée, me répondit-elle simplement.
Devant mon air incrédule, elle se mit à rire. Ce rire-là était doux et pur, jamais je n'avais entendu quelqu'un s'exclaffé de cette manière.
-Oui, une fée ma petite chérie, et toi aussi tu va avoir tes ailes dans quelques heures lors de la cérémonie.
-Quel cérémonie?
-À 19:49, nous allons nous rendre, tous le peuple des fées, dans une grande salle où tous ont eus leur ailes. Je ne t'expliquerai pas ce procédé, puisqu'il est trop dur de le décrire avec de simples mots, seulement sache qu'il n'y a aucune douleur.
-Pourquoi 19:49 précisément?
-Tu es née à cette heure la. Toutes les fées reçoive, le jour de leur dix-neuvième anniversaire, leurs ailes à l'heure précise de leur naissance.
Toujours aussi confuse devant cette scène tout droit sortit d'un rêve, je regardais fixement Amélia. Une question trottait dans ma tête.
-Si vous êtes ma mère, ou est mon père?
Une lueur de tristesse assombri les beaux yeux de cette femme.
-Ton père est mort il y a quelques années lors d'un combat, me dit-elle, mais l'heure n'est pas à ce rappeler les mauvais souvenirs. Il faut que tu te prépare à la cérémonie qui aura lieu dans une heure.
Lorsqu'elle vit l'air appeuré dans mes yeux, elle mit une douce main sur mon épaule.
-Ne t'inquiète pas, tout va bien se passé et demain nous reparlerons. Bonne cérémonie.
La même femme aux ailes bleues me guida dans les couloirs jusqu'à ma chambre. Je voulais la remercier mais je ne savais pas son nom
-Quel est ton nom? Lui demande ai-je.
-Missi, mademoiselle. Je vais vous aider à vous coiffer et à vous habiller. Ensuite, je vous conduirai au lieu de la cérémonie.
-Merci.
Elle m'aida à me dévêtir de ma grande robe. Dans la penderie, elle choisi une belle et longue robe blanche bordée de fil d'or. Elle me fit enfilée cette robe de princesse. Ses manches étaient amples dans le bas. Sur mes hanches, elle plaça une belle ceinture blanche avec des motif dorée. Je ne sais pas comment elle s'y est pris pour coiffé mes cheveux, mais lorsqu'elle me tourna vers la glace, j'avais les cheveux remonté sur ma nuque avec des mèches qui en sortait. Je me regardais et je ne me reconnaissais pas, quel sensation étrange.
À l'heure prévue, elle me guida dans un nouveau dédale de couloir tout aussi somptueux les uns que les autres. Cette fois-ci, je ne regardais pas la décoration, j'étais bien trop stresser pour cela. Elle me fit attendre dans une pièce.
-Lorsque tu entendera ton nom, tu sortira et ensuite, la reine te guidera dans tes gestes.
Elle quitta, me laissant seule. Il m'avais fallu peu de temps à me rendre au fait que je n'étais pas une humaine, mais une fée. Mon visage ressemblait beaucoup à celui d'Amélia, j'avais presque les même yeux qu'elle, mais cette cérémonies me tétanisais.
Soudain, j'entendis la voie d'Amélia.
-Mon très cher peuple, j'ai le grand bonheur de vous apprendre que ma fille a atteint l'âge d'avoir ses ailes. Alors ne la laissons plus attendre et qu'on la laisse entrer. Évangéline.
Les portes de la pièce ou j'étais s'ouvrirent comme par magie. J'apperçu alors un océan de couleur, allant du blanc au rouge, en passant par le orange. Je pris mon courage à deux mains et j'avançais vers Amélia.
-Bien, nous sommes tous réunis pour la cérémonie du Dévoilement. Évangéline, j'aimerais que tu te tourne.
Je fis ce qu'elle me demanda. Elle posa des deux mains entre mes omoplates. Une douce musique s'éleva parmis le peuple des fées. Un chant si beau, mais je ne comprennais aucune parole, ils chantaient dans une autre langue.
La musique commençais à m'endormir. Mes yeux se fermaient d'eux même. J'entendis à peine le '' OHHHHHH!!!!'' que lançait les fées et tout devint noir.