Poèmes en vrac...

Prend la vie du bon coté !
Ris pour celui qui est à coté !
Ne passe pas de l'autre coté !
Ceux qui sont à coté,
Mettent leurs pieds de l'autre coter,
Et toi tu les renvoies dans un autre coté !
Hé hé !
McClaine, tu es un Bad Boy du bon coté !
Gabriel est à coté de la plaque,
Et McClaine est furax !
Aie Aie Aie !
Gabriel passe du mauvais coté !
McClaine dérrière le mur...
Pan !
Voilà Gabriel dans un autre coté...
McClaine toujours du bon coté...
Bruce Willis quand même du mauvais coté,
Car Hollywod est bloqué !
Hé hé !

Dans une citée flottant sur la mer.
Loin des rivages du Peuple gris.
Les derniers jours d'un froid d'hiver.
Naquit une princesse destinée.
A trouver la paix au plus profond de son être.
Nourrie de sagesse et de caractère.
Près des eaux vieilles comme le temps.
Luttant avec l'aide de ses aînés.
Elle apprit ses devoirs.
Entendant les dragons et les éléments.
Elle apprit à crée la paix.
Plus vives que les courants passèrent les années.
D'être une femme elle eut l'âge.
Le feu de la jeunesse échauffant son sang.
De monter sur le trône elle devra.
Pour enfin apporter la paix.
Un homme alors elle connut, vif et guerrier.
Qui était grand, fort et sage.
L'anneau qu'il lui offrit portait une lumière.
Se reflétant sur sa robe princière.
Au fond du bleu de ses yeux.
La Reine mystérieuse vit son aimé partir au loin.
A l'aube avec foi, il promit de revenir.
Avant que le temps de la destinée ne s'acheva.
Son aimé tint promesse.
Elle l'épousa dans la nuit pénombre.
Et lui enseigna enfin, la paix de l'éternelle lumière.
S'emparant de leurs esprits.
Dragons et éléments les élevèrent.
Pour qu'ils aillent habiter tout deux à jamais.
En paix sur les eaux de la rivière.
Mais les épées de lumière rident à nouveau le lac solitaire.
Par delà monts et vallées.
Vers les rêves oublier.
La trêve est brisée.
L'aimé dû repartir.
Au combien les larmes princières.
L'attendirent à jamais.
Un jour sur la berge, ils se regardèrent.
Avec un nouvel éclat, ils s'enlacèrent.
Les étoiles brillèrent sur un petit ruisseau.
Et les descendants de nos deux tourtereaux.
Les rides rident de plus en plus le lac solitaire.
Leurs vieux coeurs l'acceptèrent.
Ils quittèrent la Terre.
Et enfin trouvèrent la paix.
Aux confins des entrailles de la Terre...

Bain glacé dans les gouffres étoilés.
La farouche nudité de la déesse sombre.
Péchés, désirs.
Comme un serpent de ville, qui brise son empire.
Bleu de l'enfer, couleur argent.
Les signes sur la pierre, les mots des premiers jours.
Saveur amer, comme interdit.
Coeur mortel, femme aux yeux pâles !
Chagrin d'amour, femme futur.
Le corps contre la nuit, elle s'endort.
Elle se regarde briser la glace.
Ravivant ses souvenirs, alors qu'elle croyait avoir perdu ces rêves !
Plus elle court vers le lointain, et plus elle s'en va !
Même si la femme qu'elle est,
Devait perdre sa véritable personne...
Et à chaque fois qu'il lui arrive de ce perdre dans ses douleurs,
Elle pense à cet endroit qu'elle continue de chercher...
Est - elle à mes côtés ?
Quand dans mes espoirs, je peux voir son image...
Oui, elle est mes côtés...
Elle marche avec moi,
Elle marche avec nous,
Eve est la déesse mère.
La mère de toutes les femmes,
Et elle est la première femme.

J'ai vu des empires à travers les âges,
S'élever puis s'écrouler.
J'ai vu l'horreur.
Je ne peux plus justifier les effusions de sang commissent en son nom !
Je suis dans le besoin.
Pourtant ses murmures dans les coins,
Me font comprendre les durs avertissements...
Il n'y à plus de pitié.
Il n'y à plus de remords...
Je suis un enfant qui porte un nom,
Mais je suis née sans nom...
J'ai grandi pour devenir une main qui se tendra,
Qui vous protègeras,
Mais qui tueras peut - être...
Mon âme est torturée.
Je dois taire mes rêves,
Mais ça je le refuse !
Elle m’a tendue sa main,
Elle m’a sauvée,
Même si je ne l'ai pas vue...
Briserai - je un jour,
Mes chaines glacées,
Qui me piège ici ?
Je lui donnerai mon âme,
Mais mon destin n'est pas scellé,
Car il n'est que forme accélérée,
Du temps qui s'écoule dans l'éternité...
Tout arrivera un jour,
Ce seras peut - être de ma faute ?
Quand nous commencerons à tuer.
Quand je commencerais à tuer...
Nous sommes en enfer.
Même tard dans la nuit,
Même épuisée...
Je repense à ma journée,
Je repense à mes peines, mes envies et mes déceptions...
Je repense même à mes rêves...
Des rêves que je dois taire...
Personne n'entend mes cris,
A par cette personne,
La seule en laquelle je crois.
Elle attend le jour ou je la laisserai sortir.
Pour lui donner une raison de donner sa puissance.
J'ai peur de ce que je deviens,
Je sens que je perds le combat de la raison,
Je ne peux la retenir plus longtemps,
Ma volonté faiblit,
Mais je ne dois pas capituler...
Elle, qui naîtra un jour.
Je dois me sauver,
Sauver de ses idées noires,
Car je ne voie qu’horreurs et destructions.
Je suis contaminé par la fureur...
Une fureur qui ne s'éteindra jamais...
Mancinia,
Parle - moi des tiens,
Et de notre destin...
Destin ?
La ferme à la fin !!
Si le destin existe,
Pourquoi je ne le sens pas ? ...

Louve solitaire,
Ton cœur saigne,
Tu es peinée,
Dans la nuit glacée,
Tu survis dans la nuit nocturne,
L'aurore se lève et toi,
Tu rêve.
Tu survis.
Dans la nuit.
Ne crains rien,
je suis comme toi,
Je suivis.
Je rêve.
Au soleil.
Tu me rejoins ?
Je remonte doucement,
Mais surment,
Cette pente glissante.
Tu as des pavées glissant ?
Moi aussi.
Allez viens !
Nous rêverons,
Nous surviverons,
Ensembles,
Au soleil froid,
Qui se réchauffe doucement,
Car nous remontons la pente,
En faite nous ne fessons,
QUE SURVIVRE !

J'ai le regard sombre,
Vous savez,
Malgré la distance qui nous sépare,
Nous revoyons vos sourires,
Vos regard puissants et déterminés.
Nous entendons vos voix,
Qui nous murmures que nous ne devons pas abandonnée.
Vos murmures qui nous soutienne malgé la distance...
Ce 10 juin 2007,
Un fou qui roule saoule,
Vous à arracher à votre vie,
A nos vies.
Malgré la brêve lutte,
Vous nous avez quittés...
Vous brillez au firmament,
On vous admires de si loin.
Néanmoins nous relèvons la tête,
Pour aller au bout de nos rêves,
Comme vous nous l'avez dit...
Comme vous nous l'avez demander...
Bientôt deux mois...
Bientôt deux éternitées...
Vous nous manquez...
Vous êtes dans nos coeurs...

Souffle imprévisible,
Vent qui fait revivre.
Souffle de tempête,
Ouvre nos fenêtres.
Flamme sur le monde,
Feu qui chasse l'ombre.
Flamme de lumière,
Viens dans nos ténèbres.
Voix qui nous rassemble,
Voix qui nous réveille.
Clame la nouvelle et change notre terre.
Vent qui viens du nord,
Forces des Dragons.
Vent que rien n'arrête,
Source de sagesse.
Fleuve des eaux vives,
Chant de l'autre rive.
Fleuve au long voyage,
Porte - nous au large.
Source de ton peuple,
Coule dans nos demeures...

Dans une citée flottant sur la mer.
Elle est la princesse née de mon imaginaire.
Elle est la seule à avoir entendus ce que j’écrivais.
Sans elle j’aurais mit un terme à ma vie...
Car je m'ennuie sans amis...
Je ne veux plus courir dans ce cauchemar qu'est ma vie.
Du moins, je ne veux plus être seule, je veux des amis...
Ses mots sont écris à la couleur du sang ennemi.
Car elle n’avait que ça, des ennemis.
Je ferais d'elle une reine au sein de mes mots.
Je me souviens de mes dessins,
Tout en fredonnant le chant des Anciens.
Le vent de la nuit m'apporte ton sublime chant.
Sous le voile de minuit j'écouterai ce chant.
Cette nuit la lune a prit place dans mes yeux.
Me transportant dans des rêves radieux.
La lune commence sa balade lugubre,
Pendant que je commence ma balade nocturne...
Je me mis à frissonner sous la lune.
Lorsque j’ai compris ce texte lugubre...
"Puissances des douze gardiens se lèvera... "
"Quand la grande déesse décèdera... "
"Douleurs des batailles cela entraînera... "